Le 8 juin prochain, les gouvernements décideront de la nécessité ou pas d’adopter
une convention internationale contre le harcèlement au travail.
Pourtant, l’absence de convention n’est pas une option.
Plus d’un pays sur trois n’interdit pas le harcèlement sexuel au travail.
L’absence de loi et l’indifférence de nos sociétés rendent
les femmes du monde entier vulnérables face aux violences.
Nous vivons un moment historique : les femmes
brisent le silence et dénoncent les violences.
Ne les laissez pas seules.